Andreï : 1-01 Au commencement ..
Vue les anges qui m’entourent, je dois être bel et bien mort. Tout compte fait, ce n’est pas si effrayant que cela. C’est toujours la peur de l’inconnue qui effraie les gens.
Il est vrai que je j’aurais voulu finir certaines petites choses de ma vie terrestres avant de me retrouver ici ! Sur ce nuage au dessus de tous les nuages.
Je m’appelle Andrei Dmitriev Natthan, j’ai eu une vie bien remplit, certes elle aurait put être beaucoup plus belle, mais je l’ai voulu ainsi. C’est le résultat de mes décisions.
Tout a commencé un matin, je me suis retrouvé à hurler ma mère, justement en sortant du ventre de ma mère.
Ce ne fût pas l’une des périodes la plus glorieuse de ma vie, mais elle fut tout de même remplit d’émotion.
Ma première sensation d’un corps étranger fur les mains de la sage femme. Elle essayait de replier les oreilles avait que je puisse passer la tête. C’est bien longtemps après que je me suis interrogé sur les limites de l’extension de la foufoune de ma mère. C’est tout de même impressionnant, et encore à ma naissance je n’avais pas encore attrapé la grosse tête.
La sage femme, je me demande pourquoi on l’apelle comme ca. Elle ne faisait que dire : « poussez poussez POUSSSsssssssssez .. respireeeeEEEeeeezz » je ne demande bien en quoi c’est sage.
Par contre, je trouvais très sage, le monsieur qui tenait la main à ma mère. Je sentais bien qu’elle lui écrasait la main, mais lui très stoïque, très poli, il soufrait en silence. Et décrochait même un petit sourire de temps en temps.
En 20 minutes de « travail », il y a eu q’une petite touche de cheveux de ma tête qui se laisser apercevoir. Je me suis dis, accrocher vous, on en a pour la journée ou alors ils doivent avoir une grande liste d’attente.. un peu comme pour les caisses des grande surface, sauf que la il n’y a pas de caisse prioritaire, femme_pas_enceinte.
A peine que mes oreilles fut passé à l’extérieur que la sage femme d’un geste précis me saisissait par la tête et d’un mouvement hélicoïdale… oui c’est ca, elle tire et tourne en même temps,, oui c’est ca comme un tire bouchon. Donc d’un mouvement hélicoïdale parfaitement maitrisé je suis sortie d’un coup !
Il restait le cordon ombilical, à couper est c’est la liberté. Enfin je suis libéré de ma mère. On proposa à monsieur qui tient la main de maman de le couper. J’espère que ca va bien se passer. Qu’il ne va pas faire de moi une fille avec un geste malencontreusement pris sous l’emprise de l’émotion. J’ai appris après que ce monsieur c’est pôpa.
J’ai hurlé, enfin pleurer fort, enfin la vérité c’est que j’ai fais semblant de pleurer parce qu’il paraitrait que si tu ne pleure pas, on te donne une grosse claque sur les fesses pour que tu pleures.
Avec tout ca, je n’ai pas vue l’utilité de l’eau chaude. Dans les films, quand une personne s’apprête à accoucher, on fait toujours chauffer de l’eau chaude. Et je ne sais toujours pas pourquoi.
Voila Ce fût le premier épisode de ma longue vie aussi ordinaire que possible.
Bonne journée