La tête et les jambes
C’était il y a longtemps, du temps ou je m’étais investi dans la grande quête de plan d’eau suffisamment intéressant pour un tremper des palmes.
Et j’ai connu cet homme, moitié bourrin moitié vieux sage ; Je n’arrivais pas trop à le cerner. Moi qui aime tant cerner les gens.
Il avait une ferme, grande propriété situé sur un filon de granite.
Et c’est dans ce filon de granite que fut extrait a travers une carrière à ciel ouvert cette si jolie pierre bleu. Et puis un jour, l’extraction atteignait la nappe phréatique. Et la carrière fut inondé et devînt un joli plan d’eau.
Je me suis accoquiné avec cette homme afin d’avoir le privilège d’utiliser son plan d’eau en contre parti, j’ai mis des poissons et une certaine flore dont je ne suis peu fière.
Tant est si bien que l'étang était propre et sain pour la baignade
On avait aussi aménagé des table de pique nique avec les morceaux de granite laisser sur place, un terrain de pétanque et certain de nombre de chose qui permettais au famille de venir profiter de cette richesse.
Néanmoins pour des questions de sécurité et d’assurance, le plan d’eau ne pouvait être ouvert qu’en notre présence. C’était une propriété privé
Pourtant, nous avons remarqué que le site était visité régulièrement la nuit. On pensait au début que c’était le braconnier. A cause des esturgeons et des carpes que nous avons mis dedans.
En effet sans prédateur, les esturgeons grandissait vite et on avait des carpes de presqu’un mètre de long.
Suite à ces dérangements, avec le fermier nous avons décidé de monter la garde la nuit afin d’en avoir le cœur net !
Après plus de 10 jours à dormir à la belle étoile et à contempler les éclats de la lune. Cette nuit la, c’était un mercredi il se passait quelque chose d’étrange. Entre somnolence et lucides j’entendais des vois de femme, des son aigues et des rires étouffé genre hihihihi
Il y avait la un groupe de jeunes femmes nues se baignant dans l'étang
Comme à l’accoutumé, avec ma grande gueule, j’ai voulu hurler la loi, la propriété privé et blabla. Ce qui avait pour conséquence la fuite du groupe de femme vers le milieu du plan d’eau.
L'une d’entre elle disait : "On ne sortira pas tant que vous ne serez pas parti. "
Vous auriez fait quoi à ma place ?
Parce que le fermier lui a juste dis ces mots : "Oh, je ne suis pas venu ici pour regarder de jeunes femmes sortir nues de l'étang. Je suis seulement ici pour nourrir l'alligator."
Je vous laisse imaginer la suite. !!
Comment dit on déjà ? Quand on n’a pas de tête on a les jambes. !! Et l’inverse est vrai aussi !
Bonne journée
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