la pratique du Pods pour les nuls
Comment peut-on pratique le spécimen ?
Comment peut-on vivre avec ?
La réponse se tient en une seule phrase, on ne peut pas ! La relation du spécimen avec la liberté est très prononcée.
C’est un peu comme si vous aimez les mammifères marins et que vous souhaitez en avoir un à vous tout seul.
Ce sont des vies incompatibles, vous pouvez l’aimez autant que vous voudrez, et il peut vous aimez autant que vous pouvez accepter.
Mais la vie avec est un non sens.
L’histoire du spécimen est jalonnée de rencontre.
Rencontre avec des sirènes, des lutines, des muses, des korrigans, des amazones et bien d’autres congénères encore.
Il y a des rencontres qui se sont terminées, des rencontres qui se tissent des rencontres qui continuent en pointillé, des rencontres qui se construisent de loin.
De toutes ses belles histoires qui se sont terminées, le spécimen ne cherchera pas à pleurer les amours perdu, il est plutôt du genre à se réjouir de d’avoir connu tant de choses agréables.
Et rien que pour ca, il se dit qu’il fait parti des privilégiés.
Quand on lui demande quelle est sa plus belle histoire, c’est sans hésitation qu’il répondra que la plus belle histoire c’est celle qu’il a vécu avec vous.
Que la plus belle histoire c’est celle qu’il vit en ce moment, que la plus belle histoire sera sans doute la prochaine histoire.
Oui notre spécimen, ne fait pas parti de ses gens qui aiment tellement les autres qu’ils finissement par les accrocher au bout d’une laisse ou les enfermer dans un aquarium, ou une cage dorée
Notre spécimen accepte le faite qu’une histoire à un début et une fin.
Il accepte qu’on le quitte pour un horizon meilleur.
Enfin il accepte que l’on s’en aille, mais de façon très terre à terre, ce serait sympa de ne pas vider complètement le compte en banque, ni le frigo !
Voila ; vous connaissez un peu plus de la vie du Pods, enfin à part son coté obscure.
Bonne journée
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